Source : ParisMatch par David RamasseulA la fin des années 80, Bob Lazar, qui se présente comme un scientifique ayant travaillé pour des laboratoires secrets du gouvernement US, a "révélé" que les autorités américaines détenaient des technologies extraterrestres. 25 ans plus tard, un témoin viendrait enfin confirmer une partie de ses assertions... Bob Lazar est l’un des prétendus lanceurs d’alerte les plus connus du milieu ufologique. Cet homme de 56 ans, qui se présente comme un ingénieur et scientifique de haut niveau, assure avoir travaillé dans le « Secteur 4 », un centre ultra-secret situé à Groom Lake, un lac asséché situé à quelques kilomètres de la légendaire Zone 51. Là, il aurait assisté à des travaux de rétro-ingénierie menés sur des engins extraterrestres récupérés par les autorités américaines. Mais aucun élément concret n’est venu étayer ses révélations et nul n’est parvenu à retrouver une trace de sa présence au California Institute of Technology et au MIToù il assure avoir obtenu ses diplômes. Ce à quoi Bob Lazar a répondu que le gouvernement avait effacé son nom des archives de ces universités prestigieuses... Mais pour la première fois depuis ses révélations fracassantes en 1989, un élément nouveau apporte un début de crédibilité aux récits de Bob Lazar. Ci-dessous, un extrait des "révélations" de Bob Lazar Dans son parcours professionnel, il indique avoir travaillé au début des années 80 comme ingénieur au Laboratoire National de Los Alamos qui n’a pas pour habitude d’embaucher des bras cassés ou des imposteurs. Quelques photos et documents, dont une coupure de presse de 1982 (ci-dessous) évoquant ses recherches, étaient jusqu’à présent les seuls indices tangibles de ses activités à Los Alamos.
Toutefois, aucun ancien collègue ne s’était manifesté pour valider les déclarations de Bob Lazar. Mais, Jeremy Corbell, un enquêteur indépendant, dit avoir retrouvé un témoin, le Dr. Robert Krangle, physicien et contractant externe à Los Alamos, qui se souvient fort bien du lanceur d’alerte. Jeremy Corbell a déniché ce témoin providentiel en lançant un « bot », un logiciel automatique programmé pour repérer une série de mots clés de façon bien plus précise que ne peut le faire un moteur de recherche classique. C’est ainsi qu’il a découvert une conversation dans un groupe Facebook où Robert Krangle discutait de Bob Lazar. Après l’avoir contacté, il a accepté de confirmer publiquement la présence de Bob Lazar à Los Alamos. "LES EX-COLLÈGUES DE BOB LAZAR LE CONSIDÈRENT COMME UN TRAÎTRE" « C’était un physicien comme moi: ça se voyait tout de suite à toute la rangée de stylos de couleur qui dépassaient de sa chemise… » plaisante-t-il avant de préciser qu’il participait aux réunions de sécurité « où l’on nous administre le briefing habituel exigeant que l’on ne dise rien à l’extérieur de ce que l’on allait voir ou faire à Fort Alamos. » Comme Robert Krangle était un contractant extérieur, il ne peut préciser quelles étaient les attributions précises de Bob Lazar dans le laboratoire : « Mais lui, il savait très bien ce que je faisais » ajoute-t-il. Krangle n’est pas le moins du monde étonné que personne ne se soit levé pour donner crédit à ses assertions: « C’est la mentalité qui prévaut dans ce genre de milieu. Il a brisé la loi du silence et ses ex-collègues le considèrent comme un traître ». Quant à Robert Krangle, qui travaille toujours de temps à autre avec le laboratoire de Los Alamos, il affirme ne pas craindre de parler car ses revenus ne dépendent plus prioritairement de ce laboratoire national. Il ne reste plus qu’à vérifier l’authenticité du CV de Robert Krangle, qui aurait obtenu un diplôme du MIT et déposé plus de 50 brevets de haute technologie en 40 ans de carrière…
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Novembre 2016
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