Vendredi 29 juillet à 15h :
Daniel Balavoine, homicide déguisé ? Chaîne : Akasha Tv Intervenant : Jean Pernin (La date d’enregistrement du 29 juillet est sous réserve de modification) Daniel Balavoine est mort dans l’accident d’hélicoptère survenu en janvier 1986, au cours du rallye Paris/Dakar. Il était accompagné de Thierry Sabine, organisateur de la compétition, mais également de trois autres passagers. Ils sont morts sur le coup après le terrible crash de leur appareil. Or, la version officielle de cet accident est entachée de nombreuses zones d’ombre. En effet, l’accident n’aurait pas eu lieu le 14 janvier, mais bien la veille. Il n’aurait pas provoqué la mort instantanée des cinq personnes. Il y a eu momentanément des survivants. L’enquête a été bâclée. Le rapport d’accident n’a jamais été rendu public. Les faux témoignages fleurissent lors d’interventions officielles. L’hélicoptère change de look sur différentes photos. Jean Pernin, depuis bien plus de 10 ans est dans la démarche de nous montrer les incohérences et faits plus que troublants relatifs à cet accident qui au fil de son enquête à pris des allures d’homicide volontaire.
6 Commentaires
Jean-Louis Mougeot
12/5/2023 22:40:43
C'est vraiment n'importe quoi !!!
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Jean M.
19/11/2023 21:12:57
En Janvier 1986, il y eut une remarquable enquête de la gendarmerie Française, avec la gendarmerie Malienne. L'hélicoptère n'avait pas pris feu, et les débris sentaient forts le kérozène. Il ne pouvait pas, donc, y avoir un tir de missile(s) ou des coups de feu sur l'hélico, car celui-ci se serait embrasé, ce qui ne fut pas le cas. De plus, les corps étaient identifiables, mais les visages enflés aux suites du crash violent de l'hélico. L'enquête avait mis en évidence que l'hélico ne devait pas voler pendant cette tempête de sable. De plus, le pilote de l'hélico devait être fort fatigué car l'hélico était parti de Niamey, au Niger, le 14 Janvier 86 au matin, avec certes une escale à Gao, au Nord-Mali ou le gouverneur militaire avait proposé des chambres d'hôtel, à l'équipe de Sabine aux suites d'un match de foot caritatif. Oui, aussi, il fallait être voyant pour savoir que Balavoine était dans l'hélico, ou il été monté à la dernière minutes. Après avoir fait un arrêt à quelques Kms du bivouac du rallye Paris-Dakar à Gourna Rharous, Sabine avait certainement fait redécoller l'hélico, car quelques jours plus tôt, un de ses hélicos s'était crashé, mais les journalistes de Antenne2 avaient survécus. Donc, Sabine ne voulait pas avoir de soucis avec les assurances, si il crashait un second hélico. Il n'y a donc pas de complot, mais un concours de circonstances malheureux. Les accident font parties intégrantes de la vie, mais utiliser un hélico par forts vents, tempêtes, fortes pluies, ou neiges, est vivement déconseillé, et dangereux. De plus, il ne faut pas éprouver un pilote, avec de longues distances. Donc, Sabine était attendu le 15 janvier 86 au bivouac, soit, le lendemain de la tempête. Pour ma part, je juge les déclarations de Jean Pernin, irresponsables. Il faut respecter le deuil des familles de cet accident.
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Mohamed Alqaraf
5/12/2023 11:05:06
Les propos de Jean Pernin relèvent de la psychiatrie. Point.
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Dormoy J.L de Paris (75).
1/2/2024 19:27:07
Tous les 5 passagers de l'hélicoptère sont morts sur le coup, et le choc avait désintégrés l'hélicoptère sur plus de 100 mètres. Ce que raconte Pernin, ou il raconte qu'il y avait encore momentanément des survivants est n'importe quoi. Je plains les 5 familles des victimes de cet accident d'avoir à faire avec un tel escroc. Ce qu'il raconte est édifiant, et grotesque. Il devrait avoir honte de vivre sur le malheur des autres.
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François Gibier
19/3/2024 01:03:48
Les 5 passagers sont morts sur le coup. Avec l'impact du crash, les corps avaient de multiples fractures. De plus, l'accident ne faisait aucun doute, les conditions météos étaient excécrables ; tempête de vent, faible visibilité, froid, etc....Avec du bon sens, et de la lucidité, tout annonçait une catastrophe ce jour là, dès que l'hélico avait décollé de Gao. la solution sâge aurait été de dormir à l'hôtel, et remettre à demain les choses urgentes. Ce qui ne fut pas le cas....à titre personnel, je ne monterai jamais dans un hélico, si il y a une tempête de sable.
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Luc Ployes
24/3/2024 16:30:11
N'espérez pas avoir une réponse de Jean Pernin si vous le contredisez, ou si vous n'allez pas dans son sens. Dans ce cas, il ne répond jamais.
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